La révélation cosmique insuffle l’inspiration divine, de la Terre à la Lune, c’est l’envolée céleste...
La figure qui contient toutes les autres, le cercle, enveloppe tous les vivants. Elle n'a ni fin, ni...
Le mouvement circulaire est « le plus en rapport avec l'intelligence et la réflexion ». Il devient e...
L'arbre à lettres rappelle l'arbre de la connaissance. L'arbre a un rôle didactique. Progressivement...
La puissance de la vie est symbolisée par la puissance de l'arbre. Nous observons ces racines qui fo...
L'image divisée en deux parties complémentaires introduit l'idée selon laquelle « Pour entrer en rel...
« C'est au fruit qu'on reconnaît l'arbre » mais les individus ne peuvent être jugés isolément. La ré...
L'image de l'arbre introduit une symbolique mystique à partir d'un élan existentiel (l'arbre grandit...
Didier Hamey grave des rêveries enchantées. Il aime la fragilité des petites choses qu’il recueille dans la forêt ou sur les bords de mer et il les transforme en sculptures objets délicates et expressives. Le dessin suscitait son émoi mais c’est la gravure qui a attisé son inspiration. Modeste et joueur, l’artiste s’est approprié le plexiglas, polymère transparent, lisse et brillant avec lequel il “se bataille”. Il incise à la pointe sèche et donne vie à des scénettes intimistes sur de petites plaques. Il ne gomme pas, en gravure il n’y a pas de retour en arrière.
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Je suis graveur et j’aime de nombreuses techniques de gravure. Je suis également calligraphe et j'aime aussi sculpter. J’ai choisi de pratiquer la gravure parce que, en Libye, elle n’était pas très connue, ni répandue. Dans ce pays, il n’existe aucune institution ou centre qui prenne soin de transmettre la gravure. Il y a peu de graveurs dans le domaine de l’estampe et nous aimerions enseigner cet art et nous développer, former de nouveaux graveurs imprimeurs.
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Le professeur responsable de cet atelier (Alain Brayer) n’était pas un technicien mais disposait d’une large culture et savait mettre en relation nos premiers travaux avec la littérature, la musique, le cinéma. Ces lieux étroits et mystérieux, plein d’odeurs, vivaient selon des codes de déplacements, ses rituels, une « liturgie » sécurisante spécifique à l’imprimerie. J’étais bien.
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Le travail artistique de Paola Vasquez ne peut être abordé sans le rattacher à la mort. Là où son processus de travail commence, dans la recherche et la collecte des éléments qui fourniront les ressources iconographiques, la mort est une condition de préservation.
Feuilles sèches, oiseaux morts et restes de ces derniers, crânes, os, etc. Objets qui évoquent leur précédente plénitude de vie
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Leurs puissantes mains les unissent et les enlacent en un lien indissoluble comme la pierre. C'est l...
En la sculptant, Laila Havilio donne à cette pierre volcanique brisée et accidentée une seconde vie....
Les dieux auraient-ils joué une farce à l'artiste qui, en sculptant, créa la tête Debout, « oeuf » m...
La pierre basaltique de la rivière Maipo inspire un nouveau visage à Laila Havilio qui en préserve l...
Chaque face sculptée de la pierre contient un corps : les polarités féminine et masculine, lesquelle...
La veine marquant l'ancienneté du bois inspire une série de visages sculptés qui forme une seule et ...
Au moment de la sculpter, l'intensité du noir de la pierre, très dense, a influé sur l'émotivité de ...
Ce visage, modifié de nombreuses fois avant de trouver sa physionomie finale, est quelque peu « sing...
"Pratiquer la sculpture est, pour moi, avant tout thérapeutique. Cela me libère. Quand je travaille, le monde s'arrête, c'est l'ici et l'instant présent. Ma concentration est à son apogée et la connexion avec mon travail est total. J'aime ce que je fais, je sens que je suis venue au monde pour réaliser ce travail.
Je vais à la rivière chercher des pierres et réellement elles m'interpellent par leur forme et leur coloris, je peux voir l'œuvre terminée, ses contours et couleurs définissent ce qu'elles deviendront en priorité..."
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Depuis toujours il y a eu une amitié entre artistes et poètes, parce que d’une certaine manière les poètes illuminent notre travaille de leur foi, ouvrant portes et fenêtres au milieu des passages obscures du train train quotidien qui façonne la réalité de l’homme. Comme le dit le sculpteur Francisco Gazitua « personne ne supporte douze de poussière et d’effort, si ce n’est pour le poète mis dans le cœur » et ainsi est-ce réellement.
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Corps et géométrie... ainsi a été intitulée le mémoire qui traite de ma sculpture, titre très graphique, synthétique et claire, mais qui laisse au spectateur le travail créatif de finaliser l'œuvre en cherchant son propre symbolisme. J'ai écrit dans ce mémoire une partie de ce que cela signifie pour moi de créer un corps et une géométrie.
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En tant qu'artiste visuelle, elle développe une oeuvre conçue comme une allégorie objetuelle de l'espace quotidien, laquelle se compose de scènes comme fragment visuel, un instantané sculptural, faites d'objets sortis de leurs lieux d'action et significations originels pour servir de signes en un espace imaginaire. Thème qui l'a amenée également aux domaines de l'intervention publique, installation, photographie et performance.
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